Saint Charbel, un intercesseur pour les maladesDepuis sa mort en 1898, Saint Charbel est devenu une figure de guérison dans le monde entier. Moine maronite, ermite silencieux, il n’a jamais cherché à faire des miracles. Et pourtant, des milliers de témoignages rapportent des guérisons physiques, spirituelles, psychologiques, attribuées à son intercession.De nombreuses personnes affirment avoir été libérées de maladies incurables, de douleurs chroniques, de détresses profondes après avoir prié Saint Charbel avec foi. Ces grâces ne sont pas de simples anecdotes : elles sont documentées, vérifiées, et parfois même reconnues officiellement par l’Église. Lire plus...

Un chapelet enraciné dans la spiritualité orientaleLe chapelet de Saint Charbel est une prière méditative qui s’inspire à la fois de la tradition catholique maronite et de la dévotion populaire libanaise. Il ne s’agit pas simplement de répéter des prières, mais d’entrer dans un cœur à cœur silencieux avec Dieu, à l’école d’un saint ermite qui a tout offert dans le silence.Ce chapelet se distingue par sa structure particulière : il est souvent composé de cinq dizaines, mais les prières qui l’accompagnent ne sont pas nécessairement les mêmes que celles du rosaire marial classique. L’esprit de ce chapelet est profondément contemplatif. Chaque grain devient une invitation à l’union intérieure, dans la paix, l’humilité, et l’abandon à Dieu. Lire plus...

Un saint universel, enraciné dans une terreSaint Charbel est né dans les montagnes du Liban au XIXe siècle, dans une région marquée par la piété, les traditions maronites et un amour profond du silence. Et pourtant, malgré cette origine très locale, il est aujourd’hui l’un des saints les plus priés au monde. Des églises lui sont dédiées bien au-delà du Liban : au Mexique, en France, en Australie, en Argentine, au Canada… Cette portée mondiale étonne, mais elle s’explique. Lire plus...

Une obéissance vécue dans la joieSaint Charbel a embrassé l’obéissance comme un véritable chemin vers Dieu. Dès son entrée au monastère, il choisit de renoncer à sa volonté propre pour suivre celle de ses supérieurs, qu’il considérait comme une expression directe de la volonté divine. Cette obéissance n’était jamais contrainte ni passive, mais librement choisie, vécue dans la paix et dans l’humilité. Lire plus...

Un enfant du Liban, marqué par la foiNé en 1828 dans le petit village de Bekaa Kafra, au nord du Liban, Youssef Antoun Makhlouf grandit dans une famille chrétienne maronite profondément croyante. Orphelin de père très jeune, il est élevé par sa mère, qui lui transmet une foi simple et robuste. Très tôt, Youssef est attiré par la vie de prière et de solitude. Il passe des heures dans une grotte non loin de chez lui, transformée en petit ermitage, où il médite et prie loin du tumulte du monde.À l’âge de 23 ans, il quitte tout pour entrer au monastère Notre-Dame de Mayfouq, puis à celui de Saint Maron à Annaya, où il prend le nom de frère Charbel, en hommage à un martyr de l’Église antique. Il est ordonné prêtre en 1859. Lire plus...